Jeudi 15 avril 2010 à 15:25

Bernard Menez vous manque ?
Vous n'en avez cure ?
Don't inquiète, Bernard Menez revient, soon.
In a perfect and fluent Jacques Toubon english style.

http://bernard.menez.cowblog.fr/images/bernardmenez2pola.png

Oui, parce que Bernard Menez aime à s'accorder de biens beaux moments de silence entrecoupés de souliers grinçants, de parquets flottants et de disques crépitants. Les mois passent mais Bernard Menez n'en a cure. Il est immortel.

Mardi 17 novembre 2009 à 20:30

Novembre. Alors que Bernard Menez, recroquevillé sur lui-même, s'emmitouflait dans son chandail maronnâtre, un œil sur la cheminée et l'autre sur un navet, il s'assoupit. Pourtant, les Sous-Doués en vacances est un bon film. Bourré. D'action. En plus, il y a son pote. Guy Marchand. Qui joue dedans. Et Bernard Menez l'envie. Le soleil, les lunettes trop grandes, les slips trop courts, les aventures full of gags and pin-up. Mais il s'assoupit et la sonnette sonna.

http://bernard.menez.cowblog.fr/images/Sousdoues.jpg

C'était son pote, l'autre, le convoyeur, Tony. Musulin ou Mumu comme il l'appelait. Il débarquait des sacs à la main, une histoire obscure de déviation, de camionnette oubliée, et de sacs sauvés. De justesse. Bernard Menez pouvait bien lui rendre ce service, eux qui furent si proches. Garder à domicile, et protéger ce qui paraissait être quelques denrées précieuses. Tony s'enfuit. Dans la nuit, rajouteraient les mauvais auteurs. Mais c'était le cas. Et Bernard Menez prit les sacs et les rangea, dans les étagères de VHS. Entre un Max Pécas et... un autre Max Pécas d'ailleurs.

Bernard Menez ne sentit pas le danger qui le guettait. Il appuya sur la touche Play de son magnétoscope et reprit le visionnage de son film. Les actualités sur FR3, lui apprendrait bientôt la nouvelle, mais Bernard Menez n'en aurait cure, il serait riche.

Et s'assoupit.

Mardi 15 septembre 2009 à 0:12

http://bernard.menez.cowblog.fr/images/participezRose.pngComme il voit que tous les bloggueurs réunifiés s'entendent pour participer à des concours plus que douteux, mais charmants au demeurant, Bernard Menez se gratte le cuir chevelu, et se tâte pour, lui aussi, se mettre en avant afin de glaner quelque trop rare lecteurs égarés.

Bernard Menez est fier de sa Fuego numéro 9 immatriculée dans le Val d'Oise, et de ses têtes de cerfs, qu'il prend plaisir à dépoussiérer les dimanches d'Octobre. Deux bonnes raisons parmi la foultitude de facteurs qui le poussent à s'inscrire au concours du Très Beau Blog dièse 2.

Alors voilà, cela lui donne l'occasion de publier un article, et d'effectuer ainsi, son énième retour sur la toile, en espérant que ce dernier sera celui de la célébrité.

De toute façon, renommée ou pas, podium ou non, Bernard Menez n'en a cure, il s'inscrit, écrit et publie, au diable les votes contestataires, il rentre dans le moule pour le plus grand bonheur de ses hypothétiques supporters.

Jeudi 11 juin 2009 à 15:07

Bernard Menez revient.
Encore. Sur le rythme effréné des turpitudes et des pannes téléphoniques. On lui avait repris son beau Modem 56K, celui qui lui offrait tant de réjouissance. Adieux les Sophie Favier dénudées et autre Muriel Montossey, mais aujourd'hui le travail reprend, la conquête des sphères numériques.

Bernard Menez est curieux et il s'est rendu compte que pour être célèbre, il fallait faire partie d'une catégorie émergente depuis peu. Une caste à part de jeunes gens qui se photographient et commentent leur tenue. Il n'en faut pas plus pour que Bernard Menez franchisse le pas et se lance, sans savoir, dans ce courant impétueux qu'est la mode, sur la toile.

Parce qu'il faut, un jour, commencer, Bernard Menez, devant vous, aujourd'hui, se lance. Une tenue simple et abordable, accessible au plus grand nombre :



http://sd-1.archive-host.com/membres/images/1088537463/18812584-2.jpg
 
- Slip blanc à poches - Eurodif - 6 €.



Non content d'exhiber ses fiers achats, Bernard Menez profitera de l'occasion pour montrer quel physique avantageux il a développé au cours de ses pérégrinations des mois passés. Il suscite la jalousie mais Bernard Menez n'en a cure, il le sait et s'en fout.

Mardi 9 septembre 2008 à 15:00

Enième renaissance d'un phénix incertain.
Considération Viscostatique d'un slovaque républicain.
Vilain, Enfile tes charentaises.
Dans ta face, Voilà Bernard Menez.



Hein, hein, ouaip, ouaip Tiguidop tiguidop ouaip. C'est sur ces quelques vers assassins que Bernard Menez attaque une nouvelle saison. Nouvelle saison riche en rebondissements puisque Bernard Menez a acquis récemment un ordinateur surpuissant. Commodore 64, ça s'appelle. Y a des touches marronnasses et d'autres moins. Il était plus que temps, puisque que son fidèle Minitel, égayant ses longues soirées d'hiver, avait rendu l'âme. Et Bernard Menez se retrouva fort dépourvu quand le BIP final fut venu.






Pour se procurer l'objet du délit, Bernard Menez dut revendre entre autres raretés, ses cucurbitacés vernis réalisés par un artiste tchèque, œuvres qu'il avait lui même acquises de manière illégale. Il lui fallut également se séparer de sa collection de LUI - Le magazine de l'homme moderne. En repensant à toutes ses minutes de plaisir que lui avait procurées le numéro spécial Danièle Gilbert en page central, Bernard Menez s'émeut. Mais il n'en a cure, les bonnes femmes pixelisées de 36 15 ULLA ne lui suffisaient plus, Bernard Menez entre de plein pied dans l'ère numérique.


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