Bernard Menez s'en va, Bernard Menez revient, il repart encore avant de refaire apparition, on se croirait dans un mauvais film pornographique de Gérard Kikoïne. Alors ainsi, c'est l'hiver, ainsi il pleut et l'on a qu'une seule envie, celle de rester cloîtré devant son âtre en attendant des jours meilleurs.
Il en faut peu pour obliger Bernard Menez à se pelotonner au fond de son fauteuil usé par les ans. Marron et gris, il se marie à merveille avec son intérieur. Auréolé de quelques tâches aux goûts divers et variés, orné d'un majestueux repose-tête plastifié afin d'éviter toute trace de gras/gomina/pellicules de cheveux vieillis par la vie. Alors Bernard Menez se pose dans son peignoir mauve et lit. Expliquant son absence par un ordinateur bien trop loin du souffle chaud, devant sortir ses doigts engourdis pour tapoter quelques bêtises de-ci et même de-là. Bernard Menez a quand même pris le temps de céder à la mode, pour une fois, s'attardent à dire les mauvaises langues, en effet il s'est créé un compte FaceBook, le livre avec des visages dedans et beaucoup de trucs et de machins pour pas grand chose. Ca lui rappelle surtout les concours de qui a la plus grosse, liste d'amis.
Alors des gens l'ajoutent pour être copains avec lui, des hommes, trop, et des filles, trop peu. Bernard Menez aime à tester son pouvoir de séduction en laissant sur les murs des messages plein de sous-entendus et de chairs roses. Et ça marche, enfin, ça marche quand il parle de fuego. Les filles, il les attend, fréquentant groupes tendancieux, exposant sa liste de films dont il est particulièrement friand, en espérant croiser celle qui le complimentera et lui offrira son corps, ou un numéro de tatoo, en guise de césar d'honneur pour l'ensemble de sa molle carrière. Bernard Menez est aux abois. Elles l'ignorent peut être, mais Bernard Menez n'en a cure, au risque d'usurper d'autres identités, il parviendra à pénétrer, lui aussi, l'intimité de Laure Manaudou, tout du moins sa liste d'amis.
Il en faut peu pour obliger Bernard Menez à se pelotonner au fond de son fauteuil usé par les ans. Marron et gris, il se marie à merveille avec son intérieur. Auréolé de quelques tâches aux goûts divers et variés, orné d'un majestueux repose-tête plastifié afin d'éviter toute trace de gras/gomina/pellicules de cheveux vieillis par la vie. Alors Bernard Menez se pose dans son peignoir mauve et lit. Expliquant son absence par un ordinateur bien trop loin du souffle chaud, devant sortir ses doigts engourdis pour tapoter quelques bêtises de-ci et même de-là. Bernard Menez a quand même pris le temps de céder à la mode, pour une fois, s'attardent à dire les mauvaises langues, en effet il s'est créé un compte FaceBook, le livre avec des visages dedans et beaucoup de trucs et de machins pour pas grand chose. Ca lui rappelle surtout les concours de qui a la plus grosse, liste d'amis.
Alors des gens l'ajoutent pour être copains avec lui, des hommes, trop, et des filles, trop peu. Bernard Menez aime à tester son pouvoir de séduction en laissant sur les murs des messages plein de sous-entendus et de chairs roses. Et ça marche, enfin, ça marche quand il parle de fuego. Les filles, il les attend, fréquentant groupes tendancieux, exposant sa liste de films dont il est particulièrement friand, en espérant croiser celle qui le complimentera et lui offrira son corps, ou un numéro de tatoo, en guise de césar d'honneur pour l'ensemble de sa molle carrière. Bernard Menez est aux abois. Elles l'ignorent peut être, mais Bernard Menez n'en a cure, au risque d'usurper d'autres identités, il parviendra à pénétrer, lui aussi, l'intimité de Laure Manaudou, tout du moins sa liste d'amis.