Contrairement à ce que l'on pourrait croire, Bernard menez n'est pas en vacances ou n'était pas en vacances. Bernard Menez a simplement une vie trop remplie, débordante de projecteurs (dans la tête), de tournages (de pouce) et de pellicules (sur le col de sa chemise), comprenez donc que Bernard Menez n'a pas forcément le temps de mettre à jour ses déboires et réjouissances quotidiennes.
D'ailleurs, après avoir ingurgité un énième Pulco Citron fermenté et confortablement enfilé sa plus belles vareuse rayée, Bernard Menez va enfin prendre quelques jours de congés bien mérités. Partir à la Tranche sur Mer dans sa Citroën ZX flambant neuve qu'il a polishé pour l'occasion. L'occasion également d'enfiler à nouveau ses méduses, sandales au plastique trop transparent mais ô combien confortables et élégantes, son bob Tour de France 84 dans la valise et Hop, Let's go to the Bitch.
Car ce que Bernard Menez aime le plus sur les côtes chaudes et sableuses, ce sont ces nymphettes qui marchent sur la plage, la poitrine gonflée par leur envie de vivre, elles le contemplent avec ce regard qui semble dire "Viens tater si c'est pas du steak." comme une énième invitation à quelque extravagance tripoteuse derrière les murs ombrés du 8 à huit d'à côté. Paresseusement avachi dans son transat pali, le bob bien vissé sur la tête, l'œil caché par ses Rayban (imitation authentique), il profitait du spectacle, non sans une certaine excitation. Il est beau et il en a conscience, et elles le veulent, son torse rouge et flasque, son maillot brun et trop court, laissant deviner un nombre de lavages en machine conséquents. N'écoutant que son courage, il décide d'accoster, la petite blonde aux seins nus qui l'observe depuis quelques minutes. Démarche assurée (la méduse permet en effet d'adhérer au mieux aux aspérités du terrain quelqu'il soit), sourcil relevé, il s'approche et baragouine quelques mots bien sentis à base de "chambres d'hôtel" et d'adjectifs affectueux. C'était sans compter la serviette trop vide qui jouxtait la demoiselle, en effet, celle-ci appartenait au bel éphèbe sortant de l'eau quelques secondes auparavant. Ce n'est pas sans une once de gène que Bernard Menez fit marche arrière pour replier dare-dare son transat et sa glacière avant que la dite jeune fille ne relate les proposistions plus qu'indécentes qu'il lui faisait quelques minutes plus tôt. Bernard Menez rentrerait seul au camping ce soir, mais il n'en avait cure, c'était le premier jour se ses vacances qu'il savait pleine de promesses.
D'ailleurs, après avoir ingurgité un énième Pulco Citron fermenté et confortablement enfilé sa plus belles vareuse rayée, Bernard Menez va enfin prendre quelques jours de congés bien mérités. Partir à la Tranche sur Mer dans sa Citroën ZX flambant neuve qu'il a polishé pour l'occasion. L'occasion également d'enfiler à nouveau ses méduses, sandales au plastique trop transparent mais ô combien confortables et élégantes, son bob Tour de France 84 dans la valise et Hop, Let's go to the Bitch.
Car ce que Bernard Menez aime le plus sur les côtes chaudes et sableuses, ce sont ces nymphettes qui marchent sur la plage, la poitrine gonflée par leur envie de vivre, elles le contemplent avec ce regard qui semble dire "Viens tater si c'est pas du steak." comme une énième invitation à quelque extravagance tripoteuse derrière les murs ombrés du 8 à huit d'à côté. Paresseusement avachi dans son transat pali, le bob bien vissé sur la tête, l'œil caché par ses Rayban (imitation authentique), il profitait du spectacle, non sans une certaine excitation. Il est beau et il en a conscience, et elles le veulent, son torse rouge et flasque, son maillot brun et trop court, laissant deviner un nombre de lavages en machine conséquents. N'écoutant que son courage, il décide d'accoster, la petite blonde aux seins nus qui l'observe depuis quelques minutes. Démarche assurée (la méduse permet en effet d'adhérer au mieux aux aspérités du terrain quelqu'il soit), sourcil relevé, il s'approche et baragouine quelques mots bien sentis à base de "chambres d'hôtel" et d'adjectifs affectueux. C'était sans compter la serviette trop vide qui jouxtait la demoiselle, en effet, celle-ci appartenait au bel éphèbe sortant de l'eau quelques secondes auparavant. Ce n'est pas sans une once de gène que Bernard Menez fit marche arrière pour replier dare-dare son transat et sa glacière avant que la dite jeune fille ne relate les proposistions plus qu'indécentes qu'il lui faisait quelques minutes plus tôt. Bernard Menez rentrerait seul au camping ce soir, mais il n'en avait cure, c'était le premier jour se ses vacances qu'il savait pleine de promesses.
PS : Cette pochette d'album est tout simplement orgasmique.